Dévotion...

Je savais qu'il se tramait quelque chose d'anormal, un parfum de crainte, un soupçon de peur et une touche de surpuissance planait dans l'air.
Pour complétait le tableau, le ciel s'assombrissait, les gens fermait leur volet et les aventuriers se retirait dans la cave la plus proche.
Mais que se passait-il ?
Est-ce en rapport avec l'étrange tour qui s'était dressée à travers le ciel des massif de Cania ?
Soudain, un éclair transperça le ciel et vint s'abattre au milieu des montagnes.
Un flash bleu s'ensuivit et les nuages qui se bousculait dans le ciel furent aspiré vers la battisse gigantesque qui se dressait en plein milieu du paysage.
Une lumière azurée rayonnait en haut de la tour. Ils avaient réussi ! Tout le monde se mit à crier et les habitants du village se ruèrent dans leur maisons en suppliant, en pleurant et en implorant les dieux. Pas de doute, les sécurités divines réputés inviolables étaient tombées. Ces tarés étaient victorieux, les domaines des dieux étaient désormais accessible. Quand les dieux apprendront ça, le fléau divin s’abattra. Je devai à tout prix empêcher ce massacre ! En me ruant vers le Zaap, je vis des roublards qui profitaient de la panique pour cambrioler un magasin. Malheureusement pour eux, j'étai là ! Quelques coups de pelle envoya trois des voleurs au tapi, mais d'un seul un coup un jeune Zobal jaillit avec sa faux accroché à une chaîne. Il en décapita trois et en éventra un quatrième, puis, dans une succession de saut il enchaîna un fuyard. Des pic sortirent de sa faux et je cria de toute mes forces :
-NON !
Il tira un coup sec, le corps vola en éclat. Une pluie de sang recouvra le sol suivit du bruit mou et étouffé des morceaux de cadavres touchant lourdement l'herbe écarlate
Je l'aurais bien engueulé sur sa cruauté, mais le temps me manquait ! Le Zaap atteint je le traversa, une fois sur la route de la roche je couru jusqu'à la gigantesque tour. Un portail bleu brillait au sommet. Je pris par le col un gogole dans un accoutrement étrange et je lui gueula dessus :
-FERME LE PORTAIL TOUT DE SUITE !!!!!!
-Mais, je....
-TA GUEULE !
-Ce n'est pas....
-MAIS TU VAS LA FERMER OUI ?! JE M'EN TAMPONNE DES TES EXPLICATIONS !
D'un seul coup je senti une profonde brûlure dans mon dos, l'individu avait invoqué sont Krosmoglob . Mais quelle co***** ,incapable de se défendre seul !
-Bon, tu vas te calmer maintenant ! Tu crois sérieusement qu'on est capable d'ouvrir des portails, nous ? Les serrures divines sont impossible à ouvrir, les portails s'ouvrent un peu
partout dans le monde des Douzes. Pour les personnes qui ne sont pas au courant de leur présence, ils restent invisible. Nous, on sait juste les localiser...approximativement !

Hum...je vois, il devait y avoir un problème avec la sécurité divine.
Je devait aller régler ça, Enutrof à besoin de mon aide !
Ils m'avait permit de partir à l'aventure il y a exactement 655 ans.
Si on ne refermer pas les portails, plein d'aventuriers viendraient piller sans scrupule Enutrosor: Le lieux saint où se dépose toutes les offrandes !

Je gravis quatre à quatre les hautes marches de la tour et je passai la lourde porte.
Une fois à l'intérieur, je failli explosé de rire !
Une tour aussi grande et....une seule minuscule toute petite salle de rien du tout !
Je me repris et je me dirigea vers un femme portant un masque.
Bon sang, mais c'est quoi cette habitude la de porter un masque !
C'est pour paraître plus mystérieux c'est ça ?
C'est une secte ou quoi ?!
Bon bref, m'indiqua une sorte de téléporteur.
Une fois dessus, je me retrouvai dans une nouvelle salle, qui avait un peu plus de gueule que la précédente quand même ! Un grand appareil posé au centre (Juste pour la frime j'en suis sure ! Ce genre de gros machin sert à rien autrement !) était relié à 4 colonnes portant sur elles une GROOOOOSSE boule à neige ! Dans l'une d'elle on pouvait observer des cristaux et des kamas par milliers ! Comme c'était beau ! Je touchai la boule et une carte apparu me donnant la position approximative du portail, pour le reste je devrais me débrouiller seul.
300 kamétres à gauche, vers le nord jusqu'à une brouette, bon sang, c'était dur !
Je parti de l'atelier des alchimistes à Astrub, je fis le tour de la ville pour arriver au final ….à mon point de départ ! Bon sang quelle bande de trool ces dieux ! Bref, dans les airs, flottait une sorte de serrure, je la toucha et je fus aspirés dans le vortex.

Sympa, t'as l'air bien motivé pour la chasse aux trésors

Mes yeux mirent du temps à s'habituer à la lumière étincelante qui émanait de devant moi. Une fois la vue retrouvé je ne pus que exprimer un cri rauque sortant du fin fond de mes tripes : Des kamas, des kamas par millions de milliard ! Je failli faire une attaque ! Heureusement, je réussis à me reprendre en pensant au destin funeste de ces petits kamas si je n'accomplissait pas ma mission. Je gravi les escaliers quatre à quatre en serrant mon Ares entre mes mains ridées, la lanière de cuir autour du poignet. A peine arrivée en haut que trois berserkoffre me tombèrent dessus , les dents dehors, la bave giclant au coin de leur bouche. J'eu juste le temps de faire tourner ma pelle autour de mon poignet avec la lanière ce qui me projeta à une trentaine de mètres derrière eux
Seulement, ils revinrent à l'attaque avec trois nouveaux potes cette fois ci : Deux boursoins et un mimikado.
-Cette fois je suis perdu...murmurai-je en silence.
Tout à coup, mon Ares se mit à briller d'une lumière éclatante. Sans réfléchir, je donna un coup si puissant que Iop en personne aurait sauté dans les bras de Féca en hurlant telle une Bontarienne devant un Trool. Les morceaux encore fumant du coffre tombèrent par terre, à moitié brulé. Ses congénères détalèrent un poussant des couinements de Chienchien battu, quel spectacle ! Je mis un peu de temps à comprendre ce qui venait d'arriver, en fait dans les dimensions divines, la foi du disciple se matérialise en une lumière qui repousserait Ombre lui-même. Je poursuivi mon exploration du creuset des fortunés en sautant et en me tortillant comme un petit fou devant les richesses qui s'étalaient devant mes yeux, mais ma joie fut de courte durée.